Camp NaNoWriMo : Jour 17 (et le reste).

Je. Je suis vivante !
Si, si, promis. Et oui, définitivement, ce bilan est affreusement en retard… enfin, à ce niveau, c’est même plus du retard mais hem, je suis encore dans la course, c’est juré.

Donc. Nous voici à plus de la moitié du parcours, il ne reste plus qu’une douzaine de jours pour remporter le défi, et dans deux journées, les plus rapides pourront obtenir leurs glorieux goodies virtuels. C’est le moment ou jamais de faire un petit arrêt sur image et de revenir sur ses impressions. Ce que je voulais faire, un peu chaque jour, mais herm, beaucoup de petites choses à régler, pas forcément de séance d’écriture tous les jours, c’était un peu délicat. Dans tous les cas, vous pouvez plus ou moins suivre mon avancée sur mon compte twitter, et ainsi vous faire amicalement spammer de tweets hautement intellectuels à chacune de mes séances.

Mais revenons au sujet.
Alors, comment je m’en sors ? Bien, en fait, de façon assez étonnante. Y a des hauts et des bas, des journées où je ne peux pas ajouter un mot de plus mais… Mon objectif, les 10 000 mots prévus pour le mois est bel et bien clean ! Oui, oui. Depuis le 15, même. C’est plutôt une victoire, parce qu’à l’origine, je pensais les atteindre difficilement. Et que je me retrouve maintenant avec un nouvel objectif de 15 000 mots, avec plus ou moins douze jours pour y parvenir. Cela semble relativement en bonne voie donc, sauf qu’il ne faut jamais vendre la croûte du fromage avant d’avoir mis la main dessus. (Oui, j’adapte des classiques de façon douteuse).

Pourquoi 15 000, exactement ? Parce que je considère un peu ça comme le pallier suivant, que c’est le score le plus raisonnablement atteignable dans l’immédiat, et aussi pour une autre raison dont je vous parlerais un peu plus tard.

Côté régularité… disons qu’il y a mieux. Mais que l’objectif initial est une réussite : j’ai repris bébé fanfiction, et j’écris régulièrement dessus. Pas forcément tous les jours, mais j’avance, lentement, en tournant parfois terriblement autour du pot, mais j’avance. Et si je panique beaucoup et que j’ai un peu de mal à suivre le rythme (bien que très léger dans mon cas, objectif quasi minimal, tout ça), en continuant tout le « reste », j’ai toujours le nez dedans. J’y pense. Souvent. Et il a définitivement repris vie. Alors, challenge encore en cours ou pas, ma victoire, je crois que je l’ai déjà. Il faute juste que je ne la laisse pas filer.

Parce que, motivation ou pas, le monde autour de nous est fort vicieux et saisira la première occasion pour nous empêcher d’écrire (et ça compte pour notre propre cerveau aussi).

Enfin, pour le moment, tout va bien. Le Camp NaNoWriMo est encore en cours, et j’ai une motivation supplémentaire pour atteindre les 15K. Je vais donc pousser ce petit bilan de rien du tout sous la porte de la Boîte, et me pencher sur une petite séance nocturne histoire de titiller amicalement le compteur.

Courage à vous, amis campeurs (et non-campeurs, d’ailleurs), et que l’inspiration soit avec vous !

Camp NaNoWriMo : Jour 3 et 4.

Toujours la grande forme.

Bonjour camarades lecteurs et campeurs téméraires, comme, encore une fois, le laisse présager ce gif et le délai avant le billet-bilan, je pète le f-f-feu. Oui, bon, c’est plus du zombie enthousiaste que du sportif surentrainé. Mais je rampe avec conviction. Enfin, j’essaye. Alors, alors, que dire de ces deux derniers jours ? Eh bien, malgré une forme relativement douteuse, j’avance. Lentement, avec beaucoup de blabla probablement pas essentiel, mais j’avance, tout, tout, doucement.

Le troisième jour a vu cette fameuse scène qui commençait vraiment trop à s’étirer… terminée ! Ce qui m’a fait faire une petite danse de la victoire tout à fait satisfaite. Bien que le « scénario » prévu est quelque peu, hm, dérivé. Bonjour, personnages qui décident de n’en faire qu’à leurs têtes. Les enfants, je vous jure, un peu de liberté, et ça ne vous écoute plus, tsss. Dire que je les pensais sages, timides, peu utilisés, donc nettement plus calmes et à l’écoute que leurs camarades avec plus de bouteille. Que. Nenni. Les plus discrets sont parfois les plus perfides, méfiez-vous, amis campeurs ! Surtout qu’ils n’hésitent pas à profiter de votre fatigue mentale dû au challenge pour faire leurs petits coups en douce. Des vils, vous dis-je.

L’aube du quatrième jour a, quant à lui, vu se profiler un problème un peu plus épineux : après cette douce scène pour se remettre dans le bain avec des personnages parlant peu, il était temps de retourner dans le vif de l’action, et la pelote de mini-intrigue que j’avais laissée il y a… trois mois, plus ou moins. Avec nettement plus d’éléments et de personnages à gérer (joie du crossover, bonjour). Petit moment de panique. Surtout que, sur mon forum rpg nid, j’avais décidé d’organiser une soirée de Words War (ou de sprints) sur le chat. La première du genre pour nous, la première que j’organisais. Et dans la journée, j’avais eu la fabuleuse idée de terminer la première partie d’une fiche de personnage, que j’avais ensuite glissé sous la porte d’un contact skype généreux. Autant dire que la plante verte nevrosée que je suis était dans tous ses états.

Et qu’à la peine dite fiche expédiée, j’avais dû manger puis sauter sur la chat box pour la fameuse soirée. En ayant à peine relu. Juste un peu fait tournoyer les neurones. Un quart d’heure plus tard, c’était un peu mieux, mais pas toujours ça, sauf que c’était l’heure de la première WW. Alors, prête ou pas, il fallait y aller. Le premier sprint fut aussi tendu que ce qui se présageait, et j’ai dû sauter le suivant pour retrouver un peu mes esprits. Mais, quand j’y suis retournée (pour cette troisème WW), c’était bon, j’étais partie ! Au final, la soirée s’est très bien passée, et je crois que les quelques participants ont pris plaisir à… participer (glorieux mon vocabulaire est). Les compteurs ont eu de jolis bonds, et le mien n’a pas échappé au phénomène.

Et, détail le plus important de l’opération : ça y est, c’est définitif, je suis de nouveau dans le bain. Le véritable fil de l’histoire a repris, et si le rythme est un peu lent, et que ce chapitre sera certainement plus gros que prévu, et possiblement coupé en deux, cela avance. Lentement, doucement, mais ce projet est de nouveau en vie. Et ça, ça me met juste dans une joie pas possible. Je prends vraiment du plaisir à écrire cette histoire. Je n’ai aucune idée de ce qu’elle vaut, mais je l’aime, j’aime travailler dessus, et j’espère de tout mon cœur qu’elle tirera au moins un sourire à quelqu’un. Ou lui donnera une lecture un peu agréable. Si cela arrive, je serais la plus heureuse des plantes vertes.

Quant au Camp NaNoWrimo en lui-même, c’est un véritable plaisir. Je pense sincèrement que sans ce défi et tout ce qu’il apporte (les statistiques, les cabines, même cette petite boîte, et tout ce qui fleurit sur le net à cette occasion, articles de blogs, etc), je n’aurais pas pu faire une telle reprise. C’est vraiment, vraiment, une sacrée motivation. Et, encore une fois, je ne peux qu’encourager les gens à participer, à en parler autour d’eux, vous aurez peut-être une surprise ! En parler avec des gens, que vous connaissez ou non, est vraiment un apport formidable, un petit boost du tonnerre. Et être dans une cabine également, pour peu que vous parliez anglais ou ayez la chance d’avoir des amis campeurs français avec vous, c’est très motivant. Que l’on ait beaucoup l’esprit de compétition ou pas, la volonté de ne pas être à la traîne encourage fortement à se mettre sur sa séance du jour. Et voir les compteurs de tout le monde grimper est super génial, je trouve. J’aime voir les gens écrire, j’aime voir les gens y prendre du plaisir, le plaisir des gens est autant une source d’énergie pour moi que le mien. Ou c’est parce qu’il entraîne le mien, je ne sais pas. En tout cas, voilà, j’adore ça.

Et je vous laisse là, en vous invitant, de nouveau, à tester les WW, entre amis ou sur @NaNoWordSprints, parce que c’est juste formidable.

Toutes mes bonnes pour vos projets respectifs et compteurs, amis campeurs, que la force soit avec vous ! (et même les non-participants, qui écrivent, ou non, plein de bonnes ondes pour tout le monde ♥).

Camp NaNoWriMo : Jour 2.

Je dédie ce gif à ma collègue Alcyle, je te rejoins dans la souffrance.

Comme le laisse supposer ce gif hautement glamour, c’est pas la grande forme, et ce deuxième jour fut assez hardcore. Mais de façon étrange, et probablement grâce à @NaNoWordSprints (essayer, c’est l’adopter !), mon compteur va tout à fait bien. J’ai même explosé le score du jour 01, et terminé avec 1314 mots.

Après, bon, je vais être honnête, je ne suis pas du tout certaine de la qualité de la bête, encore plus que d’habitude, encore plus qu’en période de NaNoWriMo (parce que, honnêtement, le but n’est pas de pondre quelque chose de parfait, mais de pondre quelque chose tout court, gens). Et les personnages pensent probablement un peu trop. Mais… mais, cela m’a permis de me remettre dedans, et ma foi, faire « parler » des personnages qui n’apparaissent que peu, ce n’est peut-être pas si mal ? En savoir un peu plus sur ce qu’ils pensent, ressentent vis à vis des derniers événements, tout ça.

J’essaye donc de relativiser et d’être optimiste et de ranger mon côté névrosé dans une petite boîte, juste un peu. Mais il est clair que, si les choses continuent comme ça, je vais augmenter mon objectif final et donc mon compteur, et la taille de mon chapitre haha. Et définitivement changer son titre. Parce qu’à ce rythme, on est pas rendu (pour arriver à ce qu’il suggérait).

En bref ? Je m’en sors bien -malgré la crève et l’internet défaillant-, espérons que ça continue comme ça ! (pour aujourd’hui, et le reste).

Camp NaNoWriMo : Jour 1.


Ce lapin est honteusement bien trop mignon pour représenter ma zombiesque-personne.

 

Et c’est une vict…toire… rrrr.
Hm, pardon, baisse d’énergie drastique. Faut dire que la sieste de l’après-midi fut plus ou moins une réussite, tant mon cerveau – et tout le reste – trépignait – et angoissait – à l’idée de ce soir. Heu. Cette nuit. Matin. Damn. On sent l’être réveillé et alerte dans mes propos, haha.

Bref.
Tout ça pour en venir à… Oui, cette première session de Camp Nano est un succès, dans le sens que j’ai confortablement dépassé mon quota journalier (qui, pour 10 000 mots au final, est d’environ 335 mots). Et que je termine honorablement avec 807 mots, ce qui, sur un compteur comme le mien, est un résultat pas mal du tout.

Quid de l’écriture elle-même ? Eh bien, après un sacré moment de panique, un plongeon hollywoodien dans le document pour repêcher non pas un, mais deux personnages qui n’avaient pas fait coucou depuis un bail, mais dont j’avais besoin (et sachant que la dite histoire n’avait pas été touchée depuis plus ou moins trois mois, je vous laisse imaginer), de nombreuses autres angoisses existentielles… la reprise fut plutôt cool. J’ai pris grand plaisir à faire parler un peu ce personnage, avec lequel je n’étais pourtant pas à l’aise, et s’il a peut-être un peu trop « parlé » (dans sa tête), cela m’a permis d’attraper et récupérer la bête. Ou du moins, le personnage en question. Quant à l’histoire elle-même et au deuxième, l’avenir – très proche glups – me le dira.

Donc, j’ai avancé plus lentement, mais aussi plus facilement que prévu et la bonne nouvelle, c’est que, même si c’est un départ tout doux, ça reste un départ (et après tant de temps sans toucher à ce projet, c’est juste génial), et qu’étant finalement encore dans la même scène, je sais déjà parfaitement quoi écrire demain. (Les grandes lignes, en tout cas).

Alors tout devrait bien aller.
En théorie.
Je vais essayer de ne pas re-stresser. Très fort.

Et je souhaite, de nouveau, toutes les bonnes ondes du monde aux Campeurs d’Avril ♥

Camp NaNoWriMo : ultimes préparatifs.

« Ultimes préparatifs » sont de biens grands mots, en fait. Puisque le défi, pour les plus impatients, commence officiellement demain soir (à minuit). Comptant dans les rangs des impatients, le Camp NaNoWriMo commencera donc pour moi, dans seulement un tout petit, petit, jour. Certains se préparent des mois à l’avance, ces fameux petits mots sont donc bien présomptueux. Et même si je suis une buse en préparation, je ne suis pas si suicidaire non plus. Je n’entame pas un nouveau projet, je poursuis un projet déjà en cours. Donc, techniquement, je sais déjà où je vais. Tout tient dans le « techniquement » hem. Mais ceci est une autre histoire.

Mon objectif personnel pour le Camp est de 10 000 mots, le minimum possible, donc. Car j’ai plein de petites choses à faire à côté, et que je ne veux pas être trop gourmande. Et qu’il faut vraiment que je reprenne ce projet. Alors un « petit » objectif est exactement ce qu’il me faut : rien qui ne paraisse insurmontable. Même si, dans les faits, je sais déjà que ça ne sera pas si simple. Pour un défi comme le NaNoWriMo, commencer un projet est certainement plus simple que d’en poursuivre un déjà bien avancé. Tout simplement car on a plus la fougue, l’ébullition du début. C’est un point flou dans un grand marathon et si on aime toujours autant la course, on a plus cet enthousiasme des premiers kilomètres. Mais je ne dit pas que se lancer dans un nouveau projet tout court est simple, hein, loin de là. On ne peut cependant pas nier ce petit boost, cette impatience qui nous gagne quand on travaille sur quelque chose de nouveau. Enfin, tout ceci reste mon avis et ressenti très personnel. Nous avons probablement chacun notre façon de voir les choses.

(D’ailleurs, à l’origine du défi, il fallait forcément commencer un nouveau projet, mais des « rebelles » ont décidé de faire autrement, et depuis, je pense que chacun fait sa petite popote. Dont certains, plusieurs projets à la fois pour atteindre le quota, eheh).

Bref. Mes ultimes préparatifs sont donc simples :

  • Essayer de me mettre à jour en RP (sujet dont je reparlerais plus en détails, plus tard).
  • Relire le dernier chapitre, et ceux dont j’aurais besoin pour la scène par laquelle je vais reprendre. En clair : remettre mon museau dans ce projet.
  • Essayer de ne pas paniquer. Et surtout, de respirer (et de ne pas paniquer).
  • Faire un sacrifice rituel devant la cabine pour la bonne réussite de l’opération.
  • Assassiner mes chats (et peut-être mes partenaires de RP… les enfermer dans un placard pendant tout le mois, au moins)(note : les convertir au défi est un bon début, sauf quand ils décident de compter, justement, les mots de leurs réponses).
  • Refaire le troisième point, encore et encre.

J’aurais bien rajouté : trouver des vivres mais, hélas, le budget ne voudra pas. Tristesse. Il faut espérer qu’il reste une petite boîte de biscuits coincée derrière un placard, quelque part. Et surtout, ne pas paniquer.

Top Départ : Mercredi, à 00:01 !

Camp NaNoWriMo

Illustration du Camp NaNoWriMo par Skyla.Illustration du Camp NaNoWriMo par Skyla

Je participe donc au Camp NaNoWriMo, mais qu’est-ce que le Camp NaNoWriMo ? Grosso modo, c’est un défi d’écriture, pendant un mois entier, mais c’est un peu plus que ça, et pour faire un rapide topo, je vais me permettre de m’auto-citer.

En fait, expliquer le Camp NaNoWriMo sans expliquer d’abord son grand frère, le NaNoWriMo, est un peu délicat donc je vais tenter de faire une courte introduction. Pour faire simple, le NaNoWriMo, c’est le mois de l’écriture, un mois où vous laissez tout tomber, pour juste vous mettre devant votre feuille, cahier, machine à écrire, ordinateur, et écrire. Un mois où on envoie tous les prétextes par la fenêtre et on serre les dents pour ne pas zieuter Internet et fuir son fichier de texte.

Le NaNoWriMo, c’est un défi amical, où le seul prix que l’on peut gagner, c’est la satisfaction d’avoir avancé. Ou carrément terminer une histoire, qui certes si elle aura besoin de relecture (relire et tenir le rythme Nano’ étant particulièrement délicat), est bel et bien un premier jet complet et terminé.
Le NaNoWriMo, c’est un mois, celui de Novembre, pour écrire 50 000 mots, à raison de 1600 mots~ par jour. Mais ce n’est pas un mois de solitude, bien au contraire. Il y a toute une ébullition autour du Nano’, et les articles de blogs fleurissent, les forums s’enflamment. Le site NaNoWriMo est là pour vous accompagner tout au long du défi, avec des statistiques et des graphiques pour montrer votre progression, et également ses forums, et toute une communauté ! Et à la fin, de glorieux goodies virtuels et un joli diplôme pour récompenser votre dur labeur.

Et le Camp NaNoWriMo, c’est son petit frère. Plus light, se déroulant en été, il est aussi -hélas- moins fréquenté. Mais qu’à cela ne tienne, le site, cette fois du Camp NaNoWriMo est toujours là pour vous, et si vous n’avez pas peur de l’anglais, vous pourrez rencontrer des gens très chouettes dans votre cabine/tente (note : depuis l’année dernière, il me semble, il existe maintenant des « cabin/tentes » privées, ce qui vous permet de composer la tente de votre choix, en invitant jusqu’à dix participants). Cette fois, c’est à vous de définir votre objectif : de 10 000 mots à… beaucoup plus (999 999 mots je crois ?), le choix est assez large. Il existe deux sessions, et vous êtes tout à fait libre de faire les deux, ou seulement une seule. Votre objectif et le choix vous appartiennent. N’ayez pas peur d’échouer. Chaque mot écrit est un mot écrit !

Et… j’explique vraiment ça comme une truffe, alors je vous dirige vers le site du Camp : http://campnanowrimo.org/
Et la page Wiki du NaNoWriMo : http://fr.wikipedia.org/wiki/NaNoWriMo
Ou encore la FAQ officiel du NaNoWriMo (en anglais, malheureusement) : http://nanowrimo.org/faq
Ou le Blog des participants français du défi : http://wrimos.fr/

Et si jamais vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à taper NaNoWriMo, Camp NaNoWriMo (ou juste Nanowrimo) sur Google, les réponses fleurissent et les articles de présentation bien plus clair que l’ignoble chose que je viens de vous pondre, aussi.

Comme par exemple, ici : http://mademoisellecordelia.fr/camp-nanowrimo-avril-2014

Voilà. Je pense qu’avec tout ça, vous avez plus ou moins cerné la bestiole. Je tiens à rajouter que, vraiment, il ne faut pas hésiter. Même si vous ne pensez pas réussir, surtout si vous pensez ne pas réussir : lancez-vous quand même ! Vous pourriez vous surprendre, et au pire, vous aurez tout un nouveau paquet de mots pour votre ou vos projets en cours, et ça, c’est formidable ♥

Et il ne faut pas avoir peur d’en parler autour de vous, également, vous pourriez bien trouver des camarades masochistes insoupçonnés, que ce soit sur des forums, twitter, ou autre. Et puis, après tout, l’essence du NaNoWriMo, c’est d’écrire à plusieurs. Alors autant souffrir entre amis, vous allez voir, c’est terriblement motivant (et au final, tout à fait plaisant, même si vous allez certainement perdre quelques litres de sueur et cheveux dans l’opération).

La première session 2015 du Camp NaNoWriMo commence le 1er Avril ! Armez vos neurones et vos claviers, car il ne reste plus qu’une dizaine de jours avant le grand départ.